C’est partout toujours la même chose : dans la cour de récréation, au travail, dans les échanges commerciaux, c’est à celui qui écrasera les autres. C’est comme si c’était la seule façon de vivre et d’exister : s’affirmer en écrasant son voisin. C’est à celui qui parlera le plus fort. Et pourquoi ? Les gens ont-ils peur d’être tout seuls, de ne plus avoir à pérorer, d’être obligés d’écouter alors qu’ils préféreraient être la vedette, même si c’est devant un auditoire mort, écrasé, silencieux comme un cimetière ?
29ème dimanche ordinaire
- Auteur: Philippe Henne
- Date de rédaction: 17/10/21
- Temps liturgique: Temps ordinaire
- Année liturgique : B
- Année: 2020-2021